Coucou me revoilà,
Après une escapade métropolitaine, me voilà de retour à Saint Georges.
Le chemin aller ne fut pas de tout repos. Fin des cours à 12h30, vite déjeuner et en route pour Cayenne. Enregistrer les bagages, poser la voiture chez un ami, laisser les clés de la maison pour d'autres amis qui font étape à St Geo via le Brésil, retourner à l'aéroport, boire un verre bien mérité, je retrouve Cédric un collègue et on décolle. Jusque là pas de problème tout se passe bien. Arrivée à Paris, à l'heure ! , re Cédric, les bagages, l'Orly bus via Gare de Bercy car je n'ai pas eu de place en TGV (ce n'était pas grave 3h de plus, j'ai mon tricot, mon ordi, un bouquin...) et là, la galère commence. Bienvenue, Colette au pays !
13h, le train est annoncé quai 7 pour un départ 13h30. C'est bon je suis dans les temps, d'autant plus que je poirotte dans cette gare qui ne mérite pas de nom depuis 11h ! je monte dans un compartiment, consciencieusement je range mes 2 valises en pestant qu'il y ait des valises en vrac et je me dirige dans le compartiment, les places ne sont pas réservées. Stupeur ! plus de place, je descends, fais les autres wagons, toujours pas de place, je reviens à l'étape 1 pousse des valises et m'asseois sur la grille à bagage avec pour dossier un gros sac. Le train continue à se remplir encore et toujours en se demandant s'il y a une porte au fond pour que ça sorte. 13h30 le train ne part pas et se remplit toujours, je commence à manquer d'air sur ma grille qui est à 20cm du sol. Je peste, écarte des jambes... la tension monte, les toilettes sont fermées, pas d'info... finalement on nous annonce que des personnes doivent descendre pour que le train parte. Qui descend ? personne, normal tout le monde a payé entre 65 et 80€. Une annonce : "les gens pour certaines petites gares sont redirigés sur Paris Gare de Lyon", ok, mais le train est toujours bondé. Nous partons finalement vers 15h. OUF!!!! le train s'arrête dans toutes les petites gares, des gens descendent et d'autres montent. Le conducteur doit être très en colère, il décide à une gare de ne plus repartir. On attend encore.... on repart ; gare de Dijon des gens descendent et on attend, pas d'info.... une personne rentre, "il faut vite descendre le train ne part plus on change de quai". Course en gare de Dijon avec les valises on change de train. Enfin j'arrive à Lyon, plus de correspondance pour Saint Maurice l'Exil... Rémi vient me chercher il est 21h40.
Noël peut commencer, et cette année il est lyonnais.
L'exitation de Hugo, les préparatifs, les courses, le gibier, la dinde, la bûche, les mignardises, le chocolat, le nougat, les sablés... les 13 desserts, sian prouvencaou avant tout.
Et le lendemain, ce fut les cadeaux, ces petits chérubins n'ont pas été oubliés ; Méline, Marie et Hugo. Et moi non plus !
Me voici dans mon très agréable rôle de Grand-Mère avec Marie et Méline.
Ce n'est pas facile de prendre ces enfants en photo, ils bougent tout le temps.
Et puis ce fut le sud et la remontée sur Lyon où j'en ai profité pour ouvrir le cadeau d'Adeline et Isabelle : une séance de nettoyage de pieds par des poissons turcs. Je l'ai fait !
Et Paris pour prendre l'avion. Une visite des Champs Elysées s'imposait avec Jean-luc pour guide !
A l'an que vin, que si sian pas maï ne sian pas min !
